Que ce stress soit positif (mariage, fou rire) ou bien lié à des situations pénibles (deuil, échec, divorce, examens etc.), il agit comme un élément déclencheur voire même révélateur chez des sujets asthmatiques qui n’avaient pas encore présenté de crise.
Faut-il penser somatisation ?
Dans pareils cas, il ne faut pas mettre trop hâtivement ces manifestations sur le dos d’une somatisation. Sachant que l’angoisse liée à l’apparition de la crise ne fait qu’en accroître l’intensité, les médecins, aujourd’hui, prescrivent parfois des anxiolytiques en complément du traitement antiasthmatique.
*Association asthme, 3 rue Hamelin, Paris 16ème Tél. : 01 47 55 03 56
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