Depuis 1994, cette psychologue clinicienne étudie le comportement des internautes. Avec le développement du net, de plus en plus de gens souffrent de cette nouvelle dépendance. Selon une étude, 6% des personnes interrogées ont une utilisation compulsive d’Internet et 30% reconnaissent l’utiliser pour fuir des sentiments négatifs. Les plus touchés sont les personnes souffrant de dépression, d’anxiété, d’un manque de confiance en soi ou qui se sont déjà battus contre une dépendance à une substance telle que la cigarette ou la nourriture.
Comme l’alcoolique, le malade du net doit d’abord admettre qu’il a un problème puis demander de l’aide
Le traitement ne consiste pas alors à débrancher l’ordinateur mais à trouver le juste milieu entre monde virtuel et vie réelle. Contrairement aux dépendances physiques, Internet ne nécessite pas une abstinence totale. D’où une thérapie sur le web. Ce qui peut paraître paradoxal à première vue, comme le reconnaît le Dr Kimberly Young : “Offrir une consultation en ligne à un Net addict équivaut à tenir une réunion des Alcooliques anonymes dans un bar !”
Visitez le site de Kimberly Young
Haut
de page
|