Mais Internet a pris une place un peu trop importante dans sa vie. Connectée pour son travail, elle découvre les joies du net et se laisse griser par les potentialités de ce formidable outil. Non seulement elle surfe cinq heures par jour, mais, chez elle, la première chose qu’elle fait est d’allumer son ordinateur. Pour environ deux heures de promenade virtuelle. Une véritable drogue dont elle ne peut plus se passer.
Internet est un élément parmi d’autres reflétant sa nature compulsive
Chaque mois, elle dépense 5000 francs en achats superflus et utilise son téléphone portable environ 14 heures. Les répercussions de cette frénésie de communication sont multiples. Son travail et sa concentration sont altérés par le fait que ses yeux fatiguent à parcourir sans cesse le web. Chez elle, surfer le soir entraîne invariablement des difficultés d’endormissement.
Mais elle avoue que le plus pénible est le stress
Si elle ne se connecte pas, elle a peur de “rater quelque chose ”. Mais lorsqu’on lui demande si elle aurait pu passer à côté d’un e-mail important, elle répond avec sincérité et humour : “non, il n’y a jamais eu d’urgence, au pire j’aurais pu manquer un ciné avec un ami, jamais une demande en mariage avec réponse sous 24 heures ”.
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